dimanche 31 août 2014

samedi 30 août 2014

Joan Rivers / Si vos en faites dix, la onzième est gratuite

Joan Rivers
Joan Rivers
« Si vous en faites dix, la onzième est gratuite »

La femme aux 739 opérations de chirurgie esthétique

Quand Joan Rivers, papesse de la fashion police américaine parle de ses (très) nombreuses opérations de chirurgie esthétique, c’est édifiant.
Chaque semaine, à l’heure où nos grand-mères font une partie de belote entre copines autour d’une tasse de thé, Joan Rivers, elle, épingle le tout Hollywood sur la chaîne E !.
 Voilà des années que cette granny au franc-parler infernal donne son avis sur les looks des stars américaines, en compagnie de Giuliana Rancic, Kelly Osbourne et George Kotsiopoulos. Entre commentaires cyniques et moqueries vachardes sur un (éventuel) léger surpoids, avec ces mégères du look, il s’agit de filer droit sans faire de faux pas. Et ça plaît.
Chaque semaine, des millions de spectateurs regardent Joan et ses amis décerner les bons points et les cartons rouges. Tout ceci a donc contribué à faire de cette désopilante (parce qu’elle est vraiment drôle) grand-mère (elle a tout de même 78 ans), une icône de la télé américaine mais pas seulement.
Joan Rivers est aussi l’une des militantes les plus acharnées de la chirurgie esthétique chez les personnes âgées. Dans une interview accordée à Anderson Cooper, la semaine dernière, Joan a expliqué que son comportement extrême concernant la chirurgie s’était toujours fait dans l’optique d’atteindre une certaine « idée de la perfection esthétique ».
Pour la vieille dame, cette idée de perfection se chiffre en millions de dollars et en plus de 700 interventions esthétiques. Oui, oui, vous avez bien lu. La papesse de la Fashion Police a avoué avoir subi « 739 interventions esthétiques ». Comme un rendez-vous sacré : « J’y vais chaque semaine et je fais toujours quelque chose de nouveau », a confessé Joan.
 Impressionnant ? Moins que sa façon de voir les choses : « Si vous en faites dix, la onzième est gratuite. C’est comme un petit café que vous emportez », conclut-elle.
 Force est de constater qu’au bout de 739 opérations esthétiques, notre Joan n’est pas si défigurée que ça. Du coup, on serait tenté de dire à Joan de filer le numéro de son chirurgien à Donatella Versace.



vendredi 29 août 2014

Joan Rivers / Reine de l'ironie et du lifting

Joan Rivers
Joan Rivers, reine de l'ironie et du lifting





Par , publié le 

A 81 ans, la star de la télévision américaine arpente les tapis rouges depuis des années pour épingler à la télévision et sur scène les faux pas vestimentaires de ses cadettes. 


Joan Rivers, reine de l'ironie et du lifting
Joan Rivers, invitée à la Maison Blanche en avril 2011, tire la langue aux photographes.
REUTERS

Qu'est ce qu'elle fait? 
Emblématique de cette génération d'artistes américains pour qui la vie n'a de sens que sous le feu des projecteurs, à 81 ans, Joan Rivers est la star d'une émission de télé-réalité diffusée sur la chaîne américaine WE, Joan & Melissa: Joan Knows Best. Les télespectateurs peuvent ainsi l'observer perturber la vie de sa fille en emménageant chez elle. Joan n'a en effet rien d'une mamie-gâteau léthargique: débordante d'énergie et d'humour, l'actrice est la reine de la répartie cinglante. Un talent qu'elle met à profit dans Fashion Police, un show pointant du doigt les fautes de goût des célébrités sur le tapis rouge. Car la septuagénaire à la langue bien pendue est aussi une passionnée de mode. Elle a d'ailleurs une ligne de vêtements, bijoux et accessoires, à son nom, commercialisée par une chaîne de téléachat américaine. 





D'où vient-elle? 
Joan Rivers a grandi à Brooklyn dans une famille d'immigrants russes, avant de se lancer dans de hautes études à l'université de Barnard. Ses diplômes d'anthropologie et de littérature en poche, elle débute sa carrière d'actrice à Manhattan, à la grande époque des cabarets. Dans les années 1960, elle devient une vedette de la télévision, grâce à sa participation au Tonight Show, et anime de nombreuses émissions. 





Plus que son talent, c'est sa passion dévorante -et coûteuse- pour la chirurgie esthétique qui va la rendre mondialement célèbre. Véritablebusiness woman, celle qui prétendait en 2012 avoir subi 739 opérations au total a su tirer partie de cet étrange passe-temps. Livres, films documentaires, spectacles: Joan raconte son obsession sans complexe, fidèle à son franc-parler décapant. 
A quoi la reconnaît-on? 
Ses innombrables frasques esthétiques ont fait d'elle une créature surréaliste: une sorte de Cruella d'enfer aux yeux bridés -caractéristiques d'un lifting de l'extrême- dont le nez semble immuablement coincé dans une pince à linge invisible. Sans maquillage, son âge la rattrape irrémédiablement; il est rare qu'elle sorte au naturel.  
Côté look, Joan Rivers se permet tout, affirmant que "quiconque prend la mode au sérieux est un idiot". Bijoux à outrance, fourrures, couleurs flashy: l'excentrique septuagénaire fait ce que bon lui semble, car "c'est le seul avantage qu'il y a à avoir [son] âge". La visite de sa penderie (voir la vidéo ci-dessous), véritable caverne d'Ali Baba pour amateurs de vintage, vaut le détour. 
  
A suivre? 
Oui, car on admire son sens de l'autodérision savamment grinçant: "Je n'étais pas une beauté, je suis devenue le Joker", ou encore: "Je deteste les cuisses flasques. Heureusement, mon ventre les cache." Les Britanniques ont d'ailleurs succombé à son cynisme: elle était l'une des rares personnalités américaines invitées au mariage du prince Charles et de Camilla Parker Bowles en 2005. 
Où la trouver? 
La grand-mère des temps modernes est très active sur Internet via son site ou son compte Twitter. Et pour une séance "langue de vipère", l'émission Fashion Police est diffusée sur la chaîne câblée E! le mercredi soir à 22h20. 





jeudi 28 août 2014

Pierre Klossowski / Roberte, ce soir



Pierre Klossowski - Roberta

Roberte, ce soir
by Pierre Klossowski




Klossowski - Diana et and und Acteon






mercredi 27 août 2014

Un nouveau livre sur Lady Di provoque la colère du prince Charles








Un nouveau livre sur Lady Di 

provoque la colère du prince Charles


L'Express
Par  
Publié le 

Un ouvrage révélant les secrets de mariage entre Diana et le prince Charles fait polémique au Royaume-Uni. Intitulé On Duty with the Queen, le livre devrait paraître en octobre. 


Un nouveau livre sur Lady Di provoque la colère du prince Charles
Un nouveau livre sur la princesse Diana fait polémique.
REUTERS/Ian Waldie

Presque 20 ans après sa mort, la princesse Diana suscite toujours autant la polémique. Le Daily Mirror rapporte que l'ancien attaché de presse de la Reine d'Angleterre, Dickie Arbiter, va publier un livre désigné comme "explosif". L'ouvrage dévoilerait de nombreux secrets sur le mariage du prince Charles et de Lady Diana. 
On Duty with the Queen (En mission avec la reine), qui doit paraître en octobre, reviendra sur la vie de couple de Charles et Diana, leur divorce et "l'humiliation" ressentie par la princesse en découvrant la liaison de son mari avec Camilla Parker Bowles. 

Le prince Charles, furieux

Devant la sortie imminente de ce livre, le prince de Galles serait d'ores et déjà furieux. Le père des prince William et Harry considérait Dickie Arbiter, 73 ans, comme "un véritable ami, quelqu'un en qui il pouvait avoir confiance", confie une source au Daily Mirror.  
D'après le média, la famille royale aurait ainsi tenté de bloquer la parution de l'ouvrage. Des juristes seraient en train d'éplucher d'anciens contrats afin d'y découvrir une clause leur permettant d'avoir gain de cause devant un tribunal. L'ex-attaché de presse aurait signé l'"Official Secrets Act", un accord de confidentialité. Le livre sera-t-il disponible comme prévu à l'automne?




mardi 26 août 2014

Julio Cortázar / Marelle


Julio cortázar

Les cinquante ans de « Marelle », 

livre culte de l’Argentin Julio Cortazar

En 1963, il y a cinquante ans, l’écrivain argentin Julio Cortazar publiait son romanRayuela, traduit chez Gallimard dès 1966, sous le titre Marelle. S'il ne constitue pas son chef d’œuvre, c’est sans doute une de ses principales créations. Marchant sur les pas d’André Breton et sa Nadja et d’Aragon et Le Paysan de Paris, les personnages de Cortazar arpentaient les rues de Paris dans une histoire d’amour labyrinthique, doublée d'une expérience initiatique sur les rapports entre l'art et la vie.
A l’époque, certaines chapelles d'avant-garde évoquaient la mort du roman. D'autres prônaient sa "déconstruction". Julio Cortazar (1914-1984) a pris cette dernière proposition sur un mode ludique. Rayuela est donc le premier roman qui se présente comme un ouvrage interactif, dont la structure doit être agencée par le lecteur lui-même, à sa guise.
Plusieurs modes de lecture sont possibles : les 155 chapitres peuvent être parcourus dans l’ordre habituel, ou bien selon un schéma alternatif proposé par l’auteur, ou alors suivant une séquence parfaitement aléatoire, répondant aux préférences de chaque lecteur.
Pourtant, les personnages ont une épaisseur romanesque. Personne n’oublie la Magicienne (devenue la Sibylle, en français), Horacio Oliveira ou l’alter ego de l’écrivain, Morelli. Pas plus que les potes du Club du serpent, des frères de ceux que l’auteur appelait des Cronopes. L’intrigue, ou plutôt les intrigues, s’articulent d’une façon ou d’une autre, finissent bien par faire sens, quel que soit l'ordre de lecture.
Rayuela est l'un des principaux titres du boom du roman latino-américain des années 1960, un phénomène éditorial qui s’appuyait sur l’émergence d’auteurs novateurs dans plusieurs pays, mais aussi sur l’apparition d’un lectorat plus large et plus ouvert à la modernité, en Amérique latine et en Espagne.
Avec un dispositif littéraire aussi sophistiqué, sans pour autant nuire à la puissance de l'imaginaire, Rayuela a légitimé toutes les audaces de la fiction, un peu à la manière de l'Ulysse de James Joyce.
Le Brésilien João Guimarães Rosa l'avait précédé avec Grande Sertão : Veredas (1956, traduit sous le titre Diadorim chez Albin Michel), mais la barrière de la langue était rédhibitoire pour les écrivains hispano-américains jusqu'à la traduction espagnole de 1967, aux éditions Seix Barral de Barcelone, l'épicentre du "boom". Guimarães Rosa n'allait pas moins renforcer les inventions de langage et les jeux de construction qui prolifèrent après Rayuela, de Guillermo Cabrera Infante à Roberto Bolaño, en passant par Manuel Puig, Augusto Roa Bastos et tant d'autres.
Un hommage à Paris
Rayuela est aussi un hommage à Paris, lieu de résidence de Julio Cortazar depuis qu’il a préféré s’éloigner de l’atmosphère étouffante régnant en Argentine à l’époque des premières présidences du général Juan Domingo Peron (1946-1955).
Ce roman est sans doute l'un des plus beaux hommages rendus par un Argentin à la capitale française, depuis qu’Enrique Cadicamo avait composé le tango Anclao en Paris, enregistré par Carlos Gardel en 1931… Depuis, de nombreux Argentins ont jeté l’ancre à Paris, souvent pour les mêmes raisons que Cortazar, pour échapper aux cinq régimes dictatoriaux ou autoritaires qui se sont succédé depuis 1930. On les retrouve dans les arts et les lettres, le théâtre et le cinéma, l’architecture et les médias. L’un d’entre eux, Julio Le Parc, expose ses œuvres au Palais de Tokyo (jusqu’au 20 mai).
Julio Cortazar tend une passerelle virtuelle entre Paris, la ville de sa maturité littéraire, et Buenos Aires, la métropole de sa jeunesse, remémorée avec nostalgie. L'écrivain incarne assez bien la contribution du Rio de la Plata à la création en France, même s’il trouvait pesant de prétendre représenter un pays.
Inutile néanmoins de chercher une plaque de rue à son nom  - excepté une à l'un de ses domiciles et l'autre sur sa tombe au cimetière du Montparnasse. La Mairie de Paris semble ignorer combien de lecteurs de Rayuela sillonnent la ville avec en tête une carte du tendre faite des itinéraires parcourus par ses personnages. En dépit de ses audaces formelles, le roman a été vendu à des milliers d'exemplaires et traduit dans une dizaine de langues. C'est un livre culte. Hélas, le café Cluny est devenu une pizzeria ! Les Cronopes ne pourront plus se retrouver à l'étage, tandis que les Fameux papotent au rez-de-chaussée. Les déçus sont légion. Il y a bien une station de métro Argentine, mais il ne faudrait quand même pas noyer le poisson…

Pour remédier à pareille amnésie et entretenir la flamme des fidèles, l’Institut Cervantes a eu l'excellente idée de présenter une exposition sur Rayuela et le Paris de Julio Cortazar (7 rue Quentin-Bauchart, 75008 Paris, Métro George V, du 15 mai au 12 juillet, du lundi au vendredi de 10 heures à 20 heures).








lundi 25 août 2014

Emmy Awards 2014 / Tout ce qu'il faut savoir de la cérémonie




Emmy Awards 2014
Tout ce qu'il faut savoir de la cérémonie
Le rendez-vous est pris : cette nuit, les meilleurs programmes de la télévision américaine vont être récompensés par des Emmy Awards. Voici les infos essentielles à retenir avant l'heure H...
19: c'est le nombre de nominations pourGame of Thrones.
La série médiévo-fantastique de HBO, devenue culte en 4 saisons, - et renouvelée pour une cinquième et sixième saisons - a été la plus souvent nommée, cette année. Avec 19 prix possibles, c'est trois de plus que l'an dernier. Juste derrière, la mini-série Fargo est en lice dans 18 catégories et American Horror Story: Coven compte 17 nominations.
Emmy Awards 2014 : tout ce qu'il faut savoir de la cérémonie

Un petit dernier pour Breaking Bad?
Pour ce qui est des acteurs, Woody Harrelson fera face à Matthew McConaughey, son collègue de True Detective dans la catégorie «meilleur acteur dans une série dramatique». Mais attention à ne pas oublier un certain... Bryan Cranston pour son rôle dans Breaking Bad!
La série culte sacrée «meilleure série dramatique» l'an dernier, sera de nouveau nommée pour le meilleur rôle masculin, meilleur second rôle masculin et féminin, entre autres. Ce serait donc le dernier prix pour ce feuilleton achevé il y a presque un an après cinq saisons.
Chez les femmes, Claire Danes de Homeland, Julianna Margulies de The Good Wife et Kerry Washington vue dans Scandal se disputeront le trophée de «la meilleure actrice dans une série dramatique»

Hommage à Robin Williams
La soirée sera dédiée à la mémoire de Robin Williams dont la mort a bouleversé Hollywood.
Le comique de génie, qui s'est suicidé le 11 août, avait remporté deux Emmys dans les années 80 pour des émissions de variété. La série dans laquelle il jouait l'an dernier, «The Crazy Ones», avec Sarah Michelle Gellar, n'avait pas été reconduite.
Après avoir débuté sur les scènes de théâtre d'improvisation, il avait été révélé par son bref passage à la télévision dans un rôle d'extra-terrestre dans la série à succès «Happy Days», qui avait ensuite été déclinée dans une série à part entière à succès, Mork et Mindy. Son ami et ex-compère à la scène Billy Crystal lui rendra hommage lors de la soirée..


Rendez-vous à Los Angeles
La cérémonie des Emmy Awards va se tenir, ce lundi 25 août, à Los Angeles au Nokia Theater. Le show débutera à 17H00, soit 2h en France.
Le présentateur de «talk-shows» Seth Meyer orchestrera la soirée. Il sera rejoint sur scène par une myriade de vedettes, dont les humoristes Stephen Colbert et Jimmy Fallon, les actrices Viola Davis, Halle Berry, Debra Messing, Lucy Liu, les acteurs Bryan Cranston, Woody Harrelson ou encore la chanteuse Gwen Stefani.
Comment regarder la cérémonie en France?
La 66ème cérémonie des Primetime Emmy sera retransmise en direct sur Série Club. Rendez-vous dès 1h55 sur la chaine. A noter que pour la première fois, la cérémonie sera diffusée en direct et en clair sur CanalSat.fr qui proposera également un live-tweet.

CATÉGORIE DRAME
Meilleure série dramatique
Breaking Bad (AMC)
Downton Abbey (PBS)
Game of Thrones (HBO)
House of Cards (Netflix)
Mad Men (AMC)
True Detective (HBO)
Meilleure actrice dans une série dramatique
Lizzie Caplan pour Masters of Sex (Showtime)
Claire Danes pour Homeland (Showtime)
Michelle Dockery pour Downton Abbey (PBS)
Julianna Margulies pour The Good Wife (CBS)
Kerry Washington pour Scandal (ABC)
Robin Wright pour House of Cards (Netflix)
Meilleur acteur une série dramatique
Bryan Cranston pour Breaking Bad (AMC)
Jeff Daniels pour The Newsroom (HBO)
Jon Hamm pour Mad Men (AMC)
Woody Harrelson pour True Detective (HBO)
Matthew McConaughey pour True Detective (HBO)
Kevin Spacey pour House of Cards (Netflix)
Meilleur acteur de second rôle dans une série dramatique
Aaron Paul pour Breaking Bad (AMC)
Peter Dinklage pour Game of Thrones (HBO)
Jon Voight pour Ray Donovan (Showtime)
Jim Carter pour Downton Abbey (PBS)
Mandy Patinkin pour Homeland (Showtime)
Josh Charles pour The Good Wife (CBS)
Meilleure actrice de second rôle dans une série dramatique
Anna Gunn pour Breaking Bad (AMC)
Joanne Froggatt pour Downton Abbey (PBS)
Christina Hendricks pour Mad Men (AMC)
Maggie Smith pour Downton Abbey (PBS)
Lena Headey pour Game of Thrones (HBO)
Christine Baranski pour The Good Wife (CBS)
Meilleur acteur guest-star dans une série dramatique
Paul Giamatti pour Downton Abbey (PBS)
Reg E. Cathey pour House of Cards (Netflix)
Robert Morse pour Mad Men (AMC)
Beau Bridges pour Masters of Sex (Showtime)
Joe Morton pour Scandal (ABC)
Dylan Baker pour The Good Wife (CBS)
Meilleure actrice guest-star dans une série dramatique
Diana Rigg pour Game of Thrones (HBO)
Kate Mara pour House of Cards (Netflix)
Allison Janney pour Masters of Sex (Showtime)
Kate Burton pour Scandal (ABC)
Margo Martindale pour The Americans (FX)
Jane Fonda pour The Newsroom (HBO)
CATÉGORIE COMÉDIE
Meilleure série comique
The Big Bang Theory (CBS)
Louie (FX)
Modern Family (ABC)
Orange is the New Black (Netflix)
Silicon Valley (HBO)
Veep (HBO)
Meilleure actrice dans une comédie
Lena Dunham pour Girls (HBO)
Edie Falco pour Nurse Jackie (Showtime)
Julia Louis-Dreyfus pour Veep (HBO)
Melissa McCarthy pour Mike & Molly (CBS)
Amy Poehler pour Parks And Recreation (NBC)
Taylor Schilling pour Orange Is the New Black (Netflix)
Meilleur acteur dans une comédie
Louis C.K. pour Louie (FX)
Don Cheadle pour House of Lies (Showtime)
Ricky Gervais pour Derek
Matt LeBlanc pour Episodes (Showtime)
William H. Macy pour Shameless (Showtime)
Jim Parsons pour The Big Bang Theory (CBS)
Meilleur acteur de second rôle dans une comédie
Andre Braugher, Brooklyn Nine-Nine (FOX)
Ty Burrell pour Modern Family (ABC)
Fred Armisen pour Portlandia (IFC)
Adam Driver pour Girls (HBO)
Jesse Tyler Ferguson pour Modern Family (ABC)
Tony Hale pour Veep (HBO)
Meilleure actrice de second rôle dans une comédie
Julie Bowen pour Modern Family (ABC)
Kate Mulgrew pour Orange Is the New Black (Netflix)
Mayim Bialik pour The Big Bang Theory (CBS)
Allison Janney pour Mom (CBS)
Kate McKinnon pour Saturday Night Live (NBC)
Anna Chlumsky pour Veep (HBO)
Meilleur acteur guest-star dans une comédie
Nathan Lane pour Modern Family (ABC)
Steve Buscemi pour Portlandia (IFC)
Jimmy Fallon pour Saturday Night Live (NBC)
Louis C.K. pour Saturday Night Live (NBC)
Bob Newhart pour The Big Bang Theory (CBS)
Gary Cole pour Veep (HBO)
Meilleure actrice guest-star dans une comédie
Uzo Aduba pour Orange is the New Black (Netflix)
Laverne Cox pour Orange is the New Black (Netflix)
Natasha Lyonne pour Orange is the New Black (Netflix)
Tina Fey pour Saturday Night Live (NBC)
Melissa McCarthy pour Saturday Night Live (NBC)
Joan Cusack pour Shameless (Showtime)
CATÉGORIE MINI-SERIE/TÉLÉFILM
Meilleure mini-série
American Horror Story: Coven
Bonnie & Clyde
Fargo
Luther
Treme
The White Queen
Meilleur téléfilm
Killing Kennedy
Muhammad Ali's Greatest Fight
The Normal Heart
Sherlock: His Last Vow
The Trip to Bountiful
Meilleure actrice dans une mini-série ou un téléfilm
Helena Bonham Carter pour Burton and Taylor
Minnie Driver pour Return to Zero
Jessica Lange pour American Horror Story: Coven
Sarah Paulson pour American Horror Story: Coven
Cicely Tyson pour The Trip to Bountiful
Kristen Wiig pour The Spoils of Babylon
Meilleur acteur une mini-série ou un téléfilm
Benedict Cumberbatch pour Sherlock
Chiwetel Ejiofor pour Dancing on the Edge
Idris Elba pour Luther
Martin Freeman pour Sherlock
Mark Ruffalo pour The Normal Heart
Billy Bob Thornton pour Fargo
Meilleure actrice de second rôle dans une mini-série ou un téléfilm
Frances Conroy pour American Horror Story: Coven
Angela Bassett pour American Horror Story: Coven
Ellen Burstyn pour Flowers in the Attic
Kathy Bates pour American Horror Story: Coven
Allison Tolman pour Fargo
Julia Roberts pour The Normal Heart
Meilleur acteur de second rôle dans une mini-série ou un téléfilm
Colin Hanks pour Fargo
Jim Parsons pour The Normal Heart
Alfred Molina pour The Normal Heart
Martin Freeman pour Sherlock
Joe Mantello pour The Normal Heart
Matt Bomer pour The Normal Heart