Tisser l’amour
Une histoire silencieuse, premier récit d’Alexandra Boilard-Lefebvre, s’ouvre sur une coupure de presse qui annonce la mort et les funérailles de Lefebvre Thérèse, le 29 septembre 1970, à l’âge de vingt-sept ans. L’épigraphe se termine par ces mots de Chantal Akerman : « Et c’est sur ce rien que je travaille. » Ainsi, c’est sous les signes de la disparition prématurée d’une femme, du « rien » et du travail que commence le récit écrit par sa petite-fille, qui va donner à cette histoire les mots pour la faire sortir du silence.
























