VALÉRIE TRIERWEILER CHERCHE DU TRAVAIL : "J'ATTENDS QUE DES PORTES S'OUVRENT"
Même en vacances, Valérie Trierweiler envoie des cartes postales à François Hollande. Cette semaine, c'est dans Grazia qu'a choisi de prendre la parole l'ex première dame. Une nouvelle interview dans un magazine féminin un mois aprèsFemme Actuelle. Une occasion de régler ses comptes aussi. Femme engagée dans l'opération "oubliés des vacances", Valérie Trierweiler fait le point sur les activités proposées aux enfants, et note, avec malice, que si les jardins de l'Assemblée Nationale et du Sénat seront ouverts aux jeunes, ce n'est pas le cas de l'Elysée. "C'est dommage pour les enfants", lâche au passage l'ex bafouée, qui montre en une petite phrase, qu'elle n'a pas pardonné...
EX PREMIÈRE DAME CHERCHE EMPLOI DE JOURNALISTE
Et si Valérie Trierweiler ne s'étend pas sur sa nouvelle vie, la journaliste de Paris Match qui ne pointe pas à Pôle Emploi passe un message à des futurs employeurs. Car, c'est là l'information de l'interview, elle cherche du boulot ! "Il n'y aura pas de retour au journalisme politique. J'attends professionnellement que des portes s'ouvrent". Après la littérature avec Merci pour ce moment et le cinéma Valérie Trierweiler a-t-elle un autre projet professionnel en vue ? Un retour à la télé, ou à la radio ? A la rédac' de Closer, on la verrait bien sur les ondes dans la peau d'une Mécha Béranger...
VALÉRIE TRIERWEILER EST-ELLE DANS LE BESOIN ?
Journaliste politique à Paris Match quand elle rencontre François Hollande, Valérie Trierweiler a dû renoncer, à l'instar d'Anne Sinclair ou de Béatrice Schoenberg(compagnes de DSK et Jean-Louis Borloo) avant elle, à son job pour son compagnon. Ainsi, lors de la révélation de sa relation avec François Hollande (alors en couple avec Ségolène Royal), Valérie Trierweiler a rejoint le service culture du newsmagazine où elle écrit encore aujourd'hui des chroniques littéraires.
Soucieuse de garder son indépendance financière, cette mère de trois enfants, n'a jamais arrêté de travailler, même si la "première journaliste de France" comme elle s'est un temps appelée, ne se rendait plus à la rédaction, après l'élection de 2012. Dans son livre, Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler raconte d'ailleurs combien la question financière a été un sujet de discussion avec François Hollande lors de leur séparation : "J'ai peur de l'inconnu, de ce qui va se passer après notre séparation, y compris sur le plan financier, écrit-elle dans son livre. Je fais part à François de mes inquiétudes. Depuis le jugement de divorce avec le père de mes enfants, c'est moi qui ai la charge financière à 100% de mes trois garçons. François sait que mon salaire à Paris Match ne me suffira pas à assumer seule à la fois le loyer de notre appartement et les dépenses de mes enfants", écrit la journaliste qui rappelle au détour d'une phrase que c'est lui qui lui a demandé d'arrêter la télévision en sachant qu'elle allait perdre "les deux tiers de son salaire".
Libérée des contraintes de l'Elysée, Valérie Trierweiler est désormais ouverte à toute proposition professionnelle. Le message est passé !
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