mardi 16 septembre 2014

García Márquez / La première phrase de Cent ans de solitude


Gabriel García Márquez
La première phrase de Cent ans de solitude


« Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano Buendia devait se rappeler ce lointain après-midi au cours duquel son père l'emmena faire connaissance avec la glace. »






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